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jeudi 11 décembre 2014

Raismes Fest 2008 - Jour 2

Château de la Princesse d'Arenberg - Raismes

U-Zine

U-zine.org, webzine musical metal actif entre 2004 et 2015. Fermé en 2015 suite à sa fusion avec 2Guys1TV, ses articles (chroniques, live-report, interview, dossiers, ...) sont désormais disponibles directement sur Horns Up via ce compte !

Une fois encore, le lendemain, le petit déjeuner est offert (enfin pour ceux qui se lèvent tôt haha). On mange, on discute, on range la tente et on se prépare doucement à se reprendre une bonne grosse journée metallique dans la face.
Bonne nouvelle par rapport au samedi, le soleil semble avoir envie d’être de la partie, et je ne vous cache pas qu’il était le bienvenue.

Je quitte le site vers 11h30 pour aller retrouver des amis, et je n'y reviendrais qu'à 14h20 pour Die Apokalyptischen Reiter. Je n'aurais malheureusement pas eu l'occasion d'apprécier les prestations de Swamp, Interria et Nedra (pareil pour Aghahowa).

Die Apocalytischen Reiter : par Arntor et Aghahowa

Alors, là... je ne connaissais que de nom, je n'avais jamais entendu leur musique et je dois dire que je m'attendais à tout, mais pas à ça! Les musiciens arrivent sur scène 1 par 1, tout est normal jusqu'à l'arriver du claviériste : en tenue de Gimp agitant un martinet au dessus de la tête. Et c'est partie pour 50 minutes de folie, le chanteur, fuchs, très bon frontman, se donne à fond et fait le show avec le claviériste.
Au début tout était plus ou moins normal pour un concert : un groupe qui s'éclate sur scène et un public qui fait la fête, mais tout a basculé lorsque qu'une demoiselle aura été conviée à monter sur scène. Fuchs s'amuse avec, la fait danser et tentera même la main aux fesses.
L'ambiance monte d'un cran lorsque que la demoiselle en question ne sera pas autorisée à revenir dans le public, mais sera attachée à coté de notre ami claviériste Sado Maso. Peu après une autre personne monta sur scène pour reprendre un titre, et remplaça la fille au coté du clavieriste. Bon là, tout le monde s'éclate, rigole et prend son pied... mais ce n'est pas fini : arrive le dernier morceau où de nouvelles 2 personnes sont invitées à monter sur scène pour la "Reiter Mania". Alors la "Reiter Mania", qu'est-ce que c'est ? Tout d'abord c'est un titre de D.A.R., mais c'est aussi une manière de finir le concert en beauté. Deux bateaux pneumatiques arrivent, et les 2 personnes invitées doivent se placer dans ces bateaux pour faire une course (le public servant de mer), le tout sous une chute de mousse, bulles de savon. La Reiter Mania est partie et c'est le joyeux bordel, tout le monde se lâche !
Au retour des bateaux, nous aurons eu le droit à une petite surprise : une des personnes choisies pour la Reiter Mania se mettra intégralement nue pour nous saluer.
Bon, une chose est sûre : dès que D.A.R. reviennent en France, je vais les revoir.

Pareil pour Aghahowa, quelques trucs à rajouter (il y a eu aussi un wall of death). Vous avez été gâtés en photos !!! Tout y est.
Personnellement par contre, je ne retenterai pas l’aventure D.A.R. aux premiers rangs (juste la fosse à photographes donc), car mon appareil photo a failli y passer avec le savon… Imaginez, j’ai juste le temps de prendre le bateau de la gonzesse en photo avant qu’il ne me tombe dessus, et hop, dès que j’ai pris la photo, le canon lanceur à mousse m’a pulvérisé tout en pleine tête (et plein appareil… Quand j’ai rouvert les yeux, ma main et l’appareil étaient sous une grosse couche de mousse. La grosse peur…).
C’était bien bon, et moi aussi, je retournerai les voir, ce sera à Vauréal en décembre.
(Ah… ne pas avaler de mousse aussi… hahaha, j’ai eu le goût de savon pendant tout le restant de l’après midi, jusqu’avant de manger).

Würm : par Arntor et Aghahowa

- Difficile de se remettre après cet instant de folie, mais il faut bien, alors on se dirige vers la scène découverte ou un groupe du nom de Würm s'apprête à jouer. Je confirme c'est très dur de passer après Die Apokalyptischen Reiter, et Würm passe plutôt mal : une espèce de HxC avec un mec qui cri tout le temps. Bon ça se laisse écouter les 2 premiers morceau, mais ça m'ennuis vite. On passe.
- pas mieux.

Soul Doctor : par Arntor et Aghahowa

- De retour sur la grande scène avec Soul Doctor : du bon vieux hard rock péchu, se rapprochant parfois de groupe comme Gotthard. Malheureusement, eux aussi subissent l'après D.A.R. et il manquera un petit quelque chose au show. Mes jambes ayant besoin de repos et ma gorge de breuvage, je profite donc de ce concert pour aller m'asseoir et regarder de loin. J'en garde un assez bon souvenir dans l'ensemble. A voir dans une salle de petite dimension.

- Soul Doctor ?
ça me saoûle docteur, y-a-t’il un problème ?

Setlist :1) Blood Runs Cold – 2) Under Your Skin – 3) Good Time’s – 4) Temptation – 5) Unspoken Words – 6) Get It On – 7) Goodbye – 8) What Du U Want – 9) Soul Doctor – 10) Just Can’t Get

Amartia : par Arntor et Aghahowa

- Je reste assis pendant Amartia, que je n'ai pas eu l'occasion de voir : il fallait récupérer des forces, d'autant plus que Korpiklaani allaient bientôt jouer.

- Un groupe de qualité musicalement, mais malheureusement, je les ai trouvés timides sur scène. Le guitariste était le seul à extérioriser son plaisir et je l’ai trouvé plutôt bon d’ailleurs dans ses compos et son exécution. Dommage donc que les autres membres n’aient pas suffisamment montré de choses au public. Mention quand même à la chanteuse à la belle voix.

Machiavel : par Arntor et Aghahowa

- Cette fois je décide de me lever pour continuer à profiter du fest et aller voir la prestation de Machiavel, groupe dont je n'avais jamais entendu parler. J'avoue qu'ils m'ont un peu endormi avec leur rock calme, mais bon ça s'écoute même si ce n'est absolument pas mon style. On notera tout de même les mimiques amusantes du chanteur ainsi que la présence du sosie de Gilbert Montagné à la basse.

- Hahaha, énorme Arntor ! Quand je prenais les photos devant, je me disais la même chose à propos du bassiste. Vous aussi, regardez les photos, c’était bien le sosie de Gilbert Montagné.
Moi aussi, je me suis endormi pendant leur concert. En fait, en tant que photographe, je me suis aussi fait chier : à part les différentes expressions du visage du chanteur, je n’ai rien eu de différent à prendre entre le premier morceau et les suivants. Bref, l’ennui, et ce n’est pas le solo de batterie qui m’a réveillé.

Setlist :1) Washing Their Hands – 2) The Rumour – 3) Time Is Like A River – 4) Down On My Knees – 5) Fly – 6) She’s A Snake – 7) Hearing The Rain – 8) Hearing The Rain – 9) Medley – 10) Solo de batterie – 11) After The Crop – 12) Happy Little Boozer – 13) Hunting Song

Wizard Kind : par Arntor et Aghahowa

- Hum, encore un groupe de la scène découverte que je n'ai pas eu l'occasion de voir. Je voulais être bien placé pour Korpiklaani.

- Une bonne tranche de rigolade que ce groupe, avec un chanteur hilarant (Jérémie "Psycho Chicken" Fays) dans son attitude et ses jeux de mots. Non, ce n’était pas qu’une blague belge, musicalement, ça tenait la route aussi. Le public a bien bougé pendant le concert, se prenant au jeu du morceau « Psycho Chicken », où le chanteur imite la poule comme personne ! C’était sympa, rock, punk, psychobilly, stoner. Quelques heures après le concert, les revoyant dans le public, j'avais toujours le sourire aux lèvres.

Setlist :1) One Time – 2) Locomotive – 3) Psycho Chicken – 4) Wake Hour – 5) Nada – 6) Pressure – 7) Virtue

Korpiklaani : par Arntor et Aghahowa

- L'année dernière c'était Finntroll, cette année c'est aux Finlandais d'assurer le moment Folk du Fest. Je les attendais avec impatience les Korpi, d'autant plus qu'on m'avait dit que leurs performances lives étaient des moments à ne pas rater. Effectivement, je n'ai pas été déçu, un show bien festif, de très bons titres et le public qui fait la fête. Petit hic, seul le chanteur et le guitariste font le show. Le violoniste ainsi que l'accordéoniste ne bougent pas d'un poil (et semble même se faire chier grave par moment), quant au bassiste, il donne l'image de "l'ancien" du groupe, ce qui colle très bien avec la musique (imaginer un petit village avec une taverne et l'ancien qui raconte ses aventures aux plus jeunes). Voila un bon moment de passer en compagnie de la troupe Korpi, dont le chanteur sera tellement déchaîné sur la fin qu'il cassera 2 micros et manquera d'étrangler son violoniste (en faisant du lasso avec son micro).

- Même chose qu’Arntor, si ce n'est qu'aussi, le bassite fait le show. En fait, j’ai pris mon pied autrement dans ce concert : j’ai laissé de côté l’aspect musical, pour me tourner vers la grande fête qui avait lieu dans le public. Des danses, des pogos, des chenilles, c’était vraiment amusant. Là aussi, tout a été immortalisé en photos. Ah oui, aussi : les mecs de la sécu en ont bavé, entre la réception des slammeurs, et les barrières qui menaçaient de tomber. Je n’aurais pas aimé être à leur place. Pour terminer, le chanteur de Korpiklaani y a été de son slam (photo)

Setlist :1) Kantaiso – 2) Wooden Pints – 3) Korpiklaani – 4) Cottages & Saunas – 5) Pine Woods – 6) Tuli Kokko – 7) Kipumylly – 8) Keep On Galloping – 9) Pellonpekko – 10) Journey Mans – 11) Paljo On Koskessa Kiviä – 12) Beer, Beer

Winterland : par Arntor et Aghahowa

- A ce moment de la journée, il commence à faire faim, surtout après ces instants de fêtes. Petite bouffe à la baraque à frites (chère à l'esprit Nordiste) et matage de la scène découverte où Winterland a pris place. Ces petits gars se démerdent vraiment bien et jouent un Heavy Metal Sympho proche de Sonata Arctica. Ce n'est pas déplaisant du tout, et en plus c'est bien joué. Groupe à suivre.

- Un groupe de jeunes qui veulent bien faire. Ils ont de l’envie, ça se voit sur scène, et ont déjà des automatismes intéressants. Du point de vue musical, ce n’était pas trop mon style, mais je dois dire qu’ils sont bons dans ce qu’ils font. J’ai juste eu mal aux oreilles, car pour une des rares fois du week end, le son était trop fort au niveau du chant. Le chant d’ailleurs, était un petit peu faux au début, mais j’ai eu l’impression que ce chanteur n’avait pas de retour pour commencer (d’où les difficultés…). Par la suite, ça s’est bien amélioré. Un groupe à suivre.

Winterland était le dernier groupe de la scène découverte, place maintenant aux têtes d'affiche : Uli Jon Roth (ancien guitariste de Scorpions) et Gamma Ray.
En attendant Uli, Korpi nous a fait la bonne surprise de faire quelques dédicaces au stand du fest. Voila qui fait passer le temps beaucoup plus vite.

Uli Jon Roth : par Arntor et Aghahowa

- Que dire? Vous vous souvenez de ce film dans lequel un personnage dit à l'autre "Corben? Qu’est-ce que tu nous as fait là?! C’était naze! Y avait aucune pêche, aucune énergie !" et bien là on aurait pu dire la même chose (à part que ce n'était pas naze). A peine le concert commencé, on a l'impression que toute la chaleur et l'humeur festive accumulée au cours de la journée s'évaporent. Une intro approximative, des musiciens qui ne semblent pas près... Bon ok je reste impressionné par les talents de guitariste d'Uli Jon Roth, mais le monsieur joue dans son coin, pour lui uniquement, les temps entre les morceaux sont longs et donne l'impression que personne ne sait ce qu'il a à faire, il n'y a aucune symbiose entre le groupe et le public... Bref j'avais l'impression d'assister à une répète.
Musicalement dans l'ensemble c'est très bon (surtout les reprises de Scorpions), mais niveau show, ce n'est pas ça du tout. De plus quand Uli s'adresse à son public, on dirait que ça l'emmerde de bouger vers le micro, l'obligeant à lever les yeux de sa guitare (et quand il parle, on à l'impression qu'il vient de se réveiller).
Je reste assez sur ma fin avec ce concert qui aurait pu être terrible, mais qui au finale s'est avéré soporifique.

- Pareil pour moi, et j’ajouterais que pourtant, Uli Jon Roth s’est entouré de musiciens de grande qualité !
Liz Vandall, la chanteuse, avait déjà tournée avec Ulrich Roth en 1998, pour sa tournée au G3 avec Satriani. Mark Boals, l’autre chanteur, a officié aux côtés de Malmsteen et Michael Ehre est le batteur de Metallium.
Oui, on avait l’impression que c’était une répétition. En atteste les antisèches collées au sol avec les textes des titres où chantait Mark Boals. En atteste la présence d’un très bon bassiste français (dont je n’ai pas retenu le nom et qui est introuvable sur le net), qui jouait là pour l’occasion (le bassiste officiel Martin Motnik, étant absent). Pourquoi en atteste sa présence ?
Et bien car j’ai vu pour la première fois de ma vie une chose rare :
Uli Jon Roth faisait un solo à la guitare, et d’un coup, tout en continuant son solo, il s’est rapproché du bassiste. Il a poursuivi son solo à 1 main, et de son autre main, il a montré l’erreur du bassiste (franchement, personne n’avait rien entendu de faux), a fait « non » du doigt et a montré le bon endroit sur le manche de basse.
J’étais consterné par l’attitude de Roth. Après tout, ce sont ses musiciens guests, mais l’erreur est humaine, et le respect est de mise. Pauvre bassiste, faisant un sourire de circonstance après ça, mais qui n’en pensait pas moins. Quand même, balaise le gars : l’ouïe très fine, et monsieur je-joue-mon-solo-d’une-main-et-je corrige-les-erreurs-de-mon-bassiste...

Autre chose : Uli Jon Roth a une guitare spéciale. Ce n’est pas une Gibson Robot, c’est un autre modèle que je ne connais pas. Elle a les mêmes spécificités que la Robot : c’est-à-dire qu’elle s’accorde toute seule. Il suffit de jouer un accord et les cordes se tendent comme il faut. Et le monsieur, pointilleux à l’extrême, ré-accordait sa gratte quasiment à chaque inter morceau. D’où notre agacement. Au début, on s’amuse à attendre que les diodes vertes s’allument, mais après plusieurs fois, ça devient chiant au possible.

Reste que musicalement, on ne peut renier le talent du bonhomme. Il y a eu aussi l’apparition d’une petite fille, qui, je pense, était la fille de Roth (une grosse ressemblance de visage).
Enfin, je terminerais en saluant le travail de tous les musiciens autour d’Uli Jon Roth. Spécialement le bassiste, le batteur qui m’a vraiment plu, et le claviériste qui maîtrisait très bien son sujet.

Setlist :1) SOS – Tempus Fugit – 2) Land Of Dawn – 3) The Magic Word – 4) Letter Of The Law - 5) Stay In The Light – 6) Tanz In Die Dämmerung – 7) Fly To The Rainbow (Scorpions cover) – 8) We’ll Burn The Sky (Scorpions cover) – 9) The Sails Of Charon (Scorpions cover) – 10) Dark Lady (Scorpions cover) – 11) Pictured Life (Scorpions cover) – 12) Catch Your Train (Scorpions cover) – 13) All Along The Watchtower (Jimi Hendrix cover)

Acoustik’Moilmanche : par Arntor

Heureusement, après le concert d'Uli Jon Roth, un petit groupe qui n'est pas sur l'affiche, et qui d'ailleurs n'était absolument pas prévu, commence à jouer dans un coin du fest : j'ai nommé les Acoustik'moilmanche. Groupe de chansons à textes... complètement débiles! Ca attire des gens, ça rigole, ça picole, ça nous réveille, bref c'est totalement dans l'esprit du Raismes Fest!

Gamma Ray : par Arntor et Aghahowa

- Avec tout ça on en oublierait presque Gamma Ray doit jouer... Mais comme j'ai dit presque, nous sommes gentiment retourné devant la grande scène.
Je ne les avais jamais vu en concert, mais je n'ai pas été déçu du tout. Un très bon set, un groupe qui a le sourire, qui s'amuse avec son public et qui en plus a du talent. Il n'en fallait pas moins pour passer un très bon moment.
Il ne reste plus qu'à attendre qu'il repasse en France pour les revoir.

- Un très bon concert de Gamma Ray, et je dirais le meilleur que j’ai vu d’eux cette année. Ils étaient totalement débridés de leur tournée avec Helloween, et ça se voyait. Notamment au niveau du 2ème guitariste. On a eu une surprise, avec l'arrivée d'un clavier, qui n'était autre que le claviériste d'Uli Jon Roth, Corvin Bahn. Le mec doit être balaise car il a joué l'intégralité du concert, avec pour seul support les partitions et sans répétition avec Gamma Ray. D'après ce que Kai Hansen a dit, il s'agissait d'une pige pour le fun. (ça me rappelle Fantomas au Fury Fest 2005, où Lombardo n'était pas là à la batterie, et où Terry Bozzio l'avait remplacé, lui aussi avec des partitions). Bleuffant !

Reste que comme je les ai vus plusieurs fois cette année, certaines surprises ne le sont plus.
Par exemple, le jeu avec le public sur « Heavy Metal Universe », où Kai Hansen divise le public en 3, et chacun crie un des 3 mots du titre à l’affilée.
Aussi, il y a une chose qui me dérange, moi qui ne suis pas un habituel auditeur de Heavy :
Durant ce festival, je n’ai pas compté le nombre de fois où le chanteur a joué avec le public en poussant des vocalises, et en faisant chanter le public ensuite. Comme toujours, c’est bien une fois, mais avoir ça tout le week end, j’ai trouvé ça téléphoné à la fin. Je n’en veux pas à Gamma Ray. Ils n’y pouvaient rien, ils étaient les derniers de l’affiche… Reste que ça a permis de montrer à quel point la voix de Hansen était encore merveilleuse (faisant même se retourner les mecs de la sécu, qui étaient manifestement bleuffés aussi).
Gamma Ray, je les trouve meilleurs qu’Helloween, et ce n’est pas prêt de changer. Le public a bien aimé leur prestation, c'est mérité.

C’est ainsi que s’achève cette 11ème édition du Raismes Fest, en conclusion je dirais simplement ces quelques mots : wow, vivement l’année prochaine qu’on remette ça !
Bien entendu un grand merci à TOUTE l’équipe du Raismes Fest, ce n’est pas la première et encore moins la dernière que vous me voyez dans les parages du château le 2ème week end de septembre.

Pour moi aussi, j’ai passé un bon moment, profitant en même temps de l’occasion pour rentrer voir ma famille, car j’habite à 400 bornes d’eux. Je suis bien content à chaque fois de retourner dans le nord, et je serai surement de la partie aussi l’année prochaine.
Les points positifs du Raismes fest, sont son accessibilité, sa taille humaine, son ambiance, l’affiche de qualité et les boutiques, la restauration, où tout est bien géré.
Aussi, la scène découverte en est vraiment une : les groupes qui y évoluent ne jouent pas en même temps que les groupes que la grande scène. Donc on peut aller les voir sans se soucier de l’horaire.
Enfin, j’ai bien aimé les présentations de chaque groupe par le staff, avant que ces derniers ne montent sur scène.

En point négatif, je parlerais du respect de l’horaire. Uli Jon Roth (on lui en veut !! hein) a dépassé allègrement le temps qui lui était imparti, et du coup, ça a fini quasiment 1 heure plus tard que prévu (les mecs de la sécu en avaient marre à la fin, et mois qui rentrait dans l'eure-et-loir directement, je voyais l'heure tourner).

A l'année prochaine !