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Anatomie du wizard metal : de l'humour douteux aux riffs cracmols

jeudi 30 octobre 2025
Rodolphe

La caution grunge du webzine.

Dans l’enceinte de Poudlard, loin des images réconfortantes d’organisations anarcho-magiques telles que l’Armée de Dumbledore et l’Ordre du Phénix, subsistent des épisodes où règne la solitude, les crispations et la schizophrénie. Lorsqu’Harry Potter entame une promenade nocturne au sein du château, sa baguette éclairant d’une lumière bleutée le parchemin de la carte du Maraudeur, il y découvre le nom et la position d’une personne supposément décédée – l’infect Peter Pettigrow. La musique est synchronisée sur les pas – rapides – de Queudver, alternant entre clavecins braiseux et galops funestes. À la faveur de la nuit, toujours, l’on succombe aux incantations gutturales proférées par les Mangemorts lors de la 422ᵉ Coupe du Monde de Quidditch. Le sound design accompagne l’image ; il agit sur notre perception de l’œuvre. Ainsi donc, il n’est pas interdit d’y voir là un matériel sonore dramatique, « méchant », capable d’étoffer la réflexion des artistes metal. Jusqu'à quel point ?

 

Hsssss... Où sont les camions-bouffe, hsssss ?

 

Avant-propos

Toute œuvre de l’esprit découle de l’imagination humaine d’un·e artiste – qu’il va de soi de créditer. Harry Potter doit son existence à son autrice, J. K. Rowling. Mais si durant longtemps, les sorties transphobes de la romancière ont été minimisées et excusées par une maladresse de circonstance, l’argument est aujourd’hui caduc. Après avoir financé les actions du mouvement conservateur Terf For Women Scotland à hauteur d'environ 83 000 euros en 2024, la romancière persiste, en créant un nouveau fonds privé « pour maintenir les droits des femmes fondés sur le sexe biologique dans le milieu de travail, la vie publique et les espaces féminins protégés » (sic). La future série d’HBO Max devrait encore accroître sa fortune personnelle et contribuer à l’accélération de ce que Libération qualifie à raison de « croisade transphobe ». En 2022, ses obsessions ont même conduit les anciens clubs de quidditch moldu à changer en partie de nom pour « quadball » afin de s’en désolidariser. Au boycott des fans se sont ajoutées diverses actions structurées destinées à honorer leur passion commune dans un cadre résolument plus éthique (vente solidaire de fanarts sur Etsy, incitation à l'achat d'occasion, diffusion de pratiques safe, etc.). L'un d'entre elleux, le YouTubeur norvégien Andri, visage de la chaîne Pagefire, avait créé un album complet de heavy sorcier sous le nom de Rubeus And The Hagrids, dans le cadre de ses défis musicaux « How to make ». Parmi les chutes studio de Vulgar Display of Hagrid figurait un titre inédit rattaché à l’initiative A Wrock Comp for Trans Rights, visant directement les tweets haineux de Rowling. « J'ai vu la scène wrock se rassembler et s'opposer à elle », commente le chanteur, pour Horns Up. Ce faisant, il sera exclu de réhabiliter l'image de la « mère » d'Harry Potter. À la place, je vous propose simplement de renvoyer son fanatisme à la réplique littéraire suivante : « Ce n’est pas parce que tu as la capacité émotionnelle d’une cuillère à café qu’il en va de même pour tout le monde ». 

 

  1. Dans l'ombre du wizard rock
  2. Le dilemme de la crédibilité
  3. (National-socialist potter metal?)
  4. Un héritage gothique
  5. Doom et sortilèges
  6. Tier list

 

Dans l'ombre du wizard rock

En tant qu’œuvre littéraire, Harry Potter a connu un succès retentissant à la fin des années 90, avec la parution des trois premiers tomes. Malgré cet écho, il faudra attendre la transposition des aventures du sorcier à lunettes sur grand écran pour que la saga s’inscrive dans une réalité musicale documentée. En particulier le dépassement des films comme référence absolue de la jeunesse pré-adolescente, visible dès le burtonesque Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban« Ma famille voyageait beaucoup ; j'avais les quatre premiers DVD et je les regardais en boucle pendant le trajet en voiture. Ce sont ceux qui m'ont le plus inspirés », commente Andri, pour Horns Up. Sous l’impulsion d’Harry And The Potters naquit donc le wizard rock, du moins ses fondations, qui reposent sur une teenage music archétypale – des chansons studieuses, drôlettes, écrites par des mid-students anglophones en tenue de cosplay. L’intérêt du wrock se situe avant tout dans les références à l’univers de J. K. Rowling plus qu’en raison de la musicalité « flottante » de ses productions. C’est pourquoi nombre d’artistes préféreront, aux concerts traditionnels, des showcases en librairie, où les musiques minimalistes et peu amplifiées charment l’ambiance du lieu et invitent à la liesse populaire. À titre d’exemple, les frères DeGeorge à l’origine du « rock sorcier », publièrent leur album homonyme en 2003, dont le style, l’interprétation, renvoient autant aux Beatles qu’à un Smash Mouth défraîchi (« The Foil “Malfoy” », « The Firebolt »). Il existe bel et bien un pendant metal, mais alors que le wrock a terminé d’éclore, celui-ci a tout bonnement été tué dans l’œuf du Pansedefer ukrainien. Pour sa part, Metal Archives affiche 10 entrées correspondant à la thématique Harry Potter – une tare, comparée aux 400 projets « rock » recensés en 2008. C’est encore moins lorsque l’on tient compte des groupes, qui, depuis, ont abandonné les renvois à l’école des sorcier·es, comme Grimgotts ; les Anglais ont préféré élargir le spectre de leurs influences à la fantasy et aux romans d’aventure. La Coupe de Feu, pourtant, fait preuve d'inventivité, en alignant quelques stéréotypes familiers à l'imagerie metal. « J'adore les éléments horrifiques des jeux, et le dragon aurait clairement sa place sur une pochette d'album de power », affirme Andri.

 

« Gringotts est l'endroit le plus sûr du monde. »

 

En dépit de ce qui les oppose musicalement à leurs confrères et consœurs du rock, les artistes relevant du « potter metal » partagent des similitudes géographiques et structurelles avec leurs aîné·es. Les États-Unis d’Amérique restent les principaux pourvoyeurs de ces formations : la moitié des projets référencés dans les encyclopédies musicales en ligne en sont originaires. La convergence se poursuit avec les nations exportatrices considérées comme secondaires : le Royaume-Uni, la Norvège et la France. Des indicateurs illustrant la tendresse de ces pays pour les aventures d’Harry Potter. Le second point saillant est que les deux mouvements susnommés – rappelons-le, amateurs – s’appuient sur des relais et des structures promotionnelles similaires, situées en dehors de l’industrie musicale. Ainsi, YouTube et les forums de discussion (pour ce qu’il en reste) leur accordent un brin d’exposition. Des espaces numériques que viennent compléter le fandom d’Harry Potter à travers le blog Wizrocklopedia ayant offert au monde l’EP d’As I Lay Dobby, parodiant le groupe de metalcore américain emmené par Tim Lambesis. C’est donc au moment de la COVID que la page Bandcamp associée au site internet a déterré, puis compilé, leurs sorties MySpace. Une initiative tout sauf hasardeuse, attendu qu’en mars 2019, le réseau social a annoncé la suppression imminente de millions de contenus téléversés avant 2016. En outre, le wrock et une partie des « fers de lance » du metal sorcier doivent beaucoup à la plateforme : pour la plupart des potterien·nes, elle fut le théâtre d’échanges et de découvertes, ce qui en fait le médium historique de la scène. À y regarder de plus près, l’évolution de MySpace suit fidèlement la courbe de croissance du wrock : les deux ont décliné après la diffusion des Reliques de la Mort au cinéma. À l’inverse, le développement du metal sorcier s’est produit à retardement ; sa « maturité artistique » a été atteinte en 2011-2015, dans l’intervalle entre les adieux de la saga originelle et l’extension de la franchise à l’univers des Animaux Fantastiques et à la faillite littéraire L’Enfant maudit.

 

Le dilemme de la crédibilité

Pour autant, cette expansion du wizard metal est à recontextualiser : sans plan de carrière ni soutien des labels qui les ont toujours boudé·es, les artistes condamnent généralement leur existence à quelques mois ou deux ans, tout au plus. Des discographies logiquement très éphémères, clairsemées, constituées de démos et d’EP. Quoi qu’il en soit, faire peser sur les maisons de disques les difficultés du mouvement s’avère malhonnête. Bien souvent, l’aspect délibérément comique qu’insufflent les artistes dans leur direction artistique les empêche d’être pris·es au sérieux. Qu’il s’agisse des jeux de mots, déjà légion dans la saga, de l'exploitation de mèmes (« You're a wizard, Harry ») ou de la propension à illustrer certains fantasmes de potterheads. La première démo des Quimpérois de Grindelwald, From Hogmeade to Mos Esley, en est l’exemple parfait : le produit s’incarne par un montage photo odieux, un ersatz de scène boudoir à la sauce grindcore, exhibant le corps nu d’Emma Watson, entourée de vilains de Star Wars. Un trait d’humour qui en appelle un autre : le trip électrocore gluant de Massacre On Privet Drive, « The Great Feast: Harry Munches on Hermiones Salmon pouch », sexualisant la relation entre les deux personnages. Cela étant, le texte accompagnant l’essai sus-cité décrit très précisément son contenu : « A giant alcoholic maelstrom ». C’est bien ce à quoi l’on a affaire : des morceaux bas de plafond à demi gruntés, fourmillant d’obscénités (« Anal Rape in the Potion Room »). Et si l’album We are magikk...fukk YOU! révélait quelques passages étonnamment inspirés fleurant Sadistik Exekution, cela démontre « l’imposture » du genre – que ses acteurices assument pleinement. En écho à ce constat, Andri de Rubeus And The Hagrids reconnaît : « Comment ai-je pu écrire 13 chansons en si peu de temps ? La réponse simple est que je ne me souciais pas vraiment de la qualité. La plupart des titres étaient composées de riffs rapides et d'ambiances punk et metal. Je connais bien les clichés musicaux, alors j'ai tout enregistré en une fois. Les paroles n'étaient même pas bien pensées ; l'équipe de Pagefire et moi avions simplement imaginé un tas d'idées et de jokes à ajouter ». Voilà un début d'explication logique.

 

 

Néanmoins, ce parti-pris comique n’exclut pas de trouver des intentions musicales plus sérieuses ailleurs. Certain·es artistes observent Harry Potter au prisme des romans. Fort·es de leur esthétique sombre, iels en extraient les quêtes, les enseignements, relevant de la magie noire, et tissent des concepts à partir de ces éléments. Muggle Death Camp a écrit un album sur la création des sept horcruxes. Quant à Time Bomb, le one-man-band de Patrick D. Hogan – musicien et auteur queer « originaire des contreforts du Yosemite » –, il dépeint ce que sont les trois Sortilèges Impardonnables dans un EP « punitif », oscillant entre deathcore et mathcore. Seulement, il arrive parfois que la propreté des enregistrements et l’exécution technique nuisent au concept initial. L’une des rares critiques en ligne de wizard metal étrille MDC pour le manque de relief de ses morceaux et sa production carton-pâte. « Il restera dans la Chambre des secrets de Bandcamp », saigne PDS (Metal Archives). L’on peut regretter « l’écale sévérité » du jugement ; les partitions de musique extrême sont cependant exécutées de façon approximative, comme s’il avait été question de doom – à l’exception des parenthèses acoustiques.

(National-socialist potter metal?)

En réalité, la musique proposée au sein du mouvement est très hétérogène – elle balaye de nombreux sous-genres. Et même si le metal noir occupe une position de choix, il apparaît curieux qu’aussi peu de ces artistes se dédient à la lecture de l’œuvre de la romancière britannique, quand on voit à quel point elle est documentée et inspirée de faits et de réalités historiques. Sur ce point, citons la théorie la plus notable dressant le parallèle entre l’entreprise criminelle des Mangemorts et la Waffen SS, unies dans leur obsession de la « pureté » du sang et du lignage. De leur côté, le binôme US Slytherin et le « Cradle of Hogwarts » kaliningradien Horkrux ont embrassé la voie de Salazar Serpentard d’un peu trop près, jusqu’à être distribués numériquement par un label turbo-fasciste russe abritant ou ayant abrité des projets affiliés à la mouvance NSBM (National-socialist black metal). Une certaine idée de l’enfer… « L'air fut soudain rempli du bruissement des manteaux. Entre les tombes, derrière l'if, dans chaque espace sombre, des sorciers transplanaient. Tous étaient cagoulés et masqués. Et un par un, ils avancèrent… lentement, prudemment, comme s'ils pouvaient à peine en croire leurs yeux » (J. K. Rowling, HP4, Chap 33).

 

 

En dépit de la vision d’horreur que ces groupes nous infligent – dont le seul mérite revient, pour l'un, à développer l’univers avec une vision radicale inspirée de Summoning – il existe des objets dignes d’intérêt. Bien sûr, il n’échappe à personne que l’écrasante majorité des projets de wizard metal éclipse les éléments les plus merveilleux et enfantins d’Harry Potter, pour privilégier la vie, le destin des mages noir·es¹ (Voldemort, l'album-concept Dolochov de DeathMetalKrinkel ou encore « Bellatrix Lestrange » de Potter).

1 : Dans l'étude Harry Potter et l'Histoire (ed. Les Éditions de l'Opportun), Damien Bridonneau analyse que « Voldemort cherche à faire régner la terreur dans le monde des Moldu·es sans pour autant dévoiler l'existence du monde des sorcier·es. Le désir de Restauration est total chez Grindelwald, mais partiel sous Voldemort. Partiel dans le sens où celui-ci ne cache pas ses intentions absolutistes à l'intérieur du monde des sorcier·es ». À partir de cette interprétation de leur projet politique et civilisationnel, il appartiendra à chacun·e de juger le degré de cruauté et de dévotion des deux leaders.

 

Un héritage gothique

Certes, la série de films est assez avare en musique amplifiée ; l’on a du mal à saisir le potentiel metal de la saga. À ceci près qu’il existe une scène notable – critiquée par les spectateurs et spectatrices en raison de son anachronisme. À savoir le concert du groupe factice The Weird Sisters¹ donné à l’occasion du bal de Noël de quatrième année. Une curiosité cinématographique en réalité pas si différente de la performance que livrera Alice Cooper dans Dark Shadows en 2012, sous les yeux ravis de Chloë Grace Moretz. Ces deux clins d’œil musicaux ont en commun d’inclure un passage de hard-rock, passé sous le filtre d’une photographie emo-gothique ultra-saturée. Il se dit même que la simple évocation des « Bizarr' Sisters » dans le roman, influença l’existence du mouvement wizard rock. À l’écran, cette apparition prend vie grâce à la participation de membres de Pulp et Radiohead, constituant ce vrai-faux all-stars band. Il semble improbable que ces images aient eu un quelconque effet sur les artistes metal, d’autant que le set intervient au milieu d’intrigues amoureuses de second plan. Mais cela nourrit les imaginaires et légitime l’existence de la wizard music.

1 : D'après plusieurs médias en ligne, les scènes avec le groupe ont nécessité deux jours de tournage. À ce propos, Jarvis Cocker de Pulp confiait au site Stereogum que « les figurant·es nous criaient dessus comme si nous étions les Beatles ! »

 

« Are you ready for some real music?! »

 

Sa branche la plus extrême, donc, lui préférera des concepts magiques ou des lieux souterrains, dont la Chambre des secrets, illustrée sur l’offrande de dark metal Death Eaters. Bien qu'il ne procure pas une sensation de satiété complète, cet EP est en tout cas l’un des plus cohérents du « marché ». D’une part, Potter réinvestit intelligemment les éléments sonores rattachés à l’univers (samples, musique d’ouverture). D’autre part, à défaut de diriger un orchestre, l’artiste – anonyme – produit des arrangements de bonne facture surplombés de guitares quelquefois empruntées au death technique. « Surrounded by Dementors » fait même montre d’une ambition certaine ; le titre joue un black-death symphonique hurlant et cathartique, qui le rapproche de grands ensembles comme Dimmu Borgir ou Cradle Of Filth. Il y a donc bel et bien un espace musical à occuper pour les artistes imprégné·es des attributs gothiques et médiévaux d’Harry Potter (du Miroir du Riséd au Cimetière de Little Hangleton en passant par la Forêt interdite). Andri de Rubeus And The Hagrids, lui, voit au-delà du septième art : pour les besoins de son album, en particulier du morceau « I May Be a Hogwart Student but I’m Also a Satanist », celui-ci a décortiqué la fanfiction potterienne My Immortal « où chaque personnage est soit emo ou gothique, soit sataniste », observe le chanteur. « Le plus difficile a été d'enregistrer "la voix de Hagrid", car ma façon de faire abîmait mes cordes vocales ; je devais prendre des pauses après chaque couplet et refrain », se souvient le YouTubeur, pour Horns Up.

 

 

Doom et sortilèges

Harry Potter a le vent en poupe, mais le phénomène reste musicalement contenu. Gageons que l’extension de la franchise conduise à l’éclosion de projets de wizard metal. À défaut, l’on pourra compter sur des albums ou des esthétiques occultes familières à cet univers, sans toutefois y retrouver le storytelling commun aux artistes nommés précédemment. Marijannah (Singapour) dédie « Snakecharmer » au combat silencieux que mena Ginny Weasley contre le Basilic de Salazar Serpentard. Cette référence visuelle, très subtile ici, est ôtée de son drame, pour donner naissance à un stoner doom chaud et sinueux. Quittons la cité-État pour le Brésil. À son tour, Dumblegore convoque une image potterienne, en réalité courante dans l'univers de la fantasy : celle d'un sorcier barbu, illustre et grisonnant, tenant le rôle de mentor spirituel. Bien entendu, ce magnifique tüchlein¹ de Pieter Brueghel l'Ancien² repris sur l'artwork de Misanthropic Ritual préfigure les récits d’aventure de Tolkien et Rowling. Il date du XVIe siècle, et décrit un moine-berger impassible, victime du larcin d'un petit vagabond diminué. La légende inscrite en bas de l'œuvre a posteriori « Parce que le monde est si perfide / Pour cela, je vais dans le deuil » a été remplacée par la mention « stéréo ». Une précision d’ordre technique largement dépassée en 2017. Encore que, le quatuor de blackened doom véhicule, via ses titres, un aspect intemporel – magique comme le sont ses claviers rock prog rétros, à la limite du dungeon synth sur « Intro ».

1 : Un tüchlein est « une peinture exécutée à la détrempe sur une fine toile de lin ».

2 : Il semble que les travaux de Pieter Brueghel l'Ancien représentent une source d'inspiration constante pour une frange de la scène metal : récemment, le groupe de black metal apicole suisse Vígljós a réutilisé des gravures de l'artiste sur ses pochettes d'album.

 

 

Tierlist – Poudlard en 11 albums

Exit les 13 % de NSPM en lien avec la Russie qui gangrènent le mouvement – soit deux sur 15 comptabilisés , le wizard metal comprend un petit lot de sorties confidentielles capable de prolonger l'expérience cinématographique. Ces découvertes ont été classées de façon académique, en prenant pour référence les notes de réussite et d'échec du Brevet Universel de Sorcellerie Élémentaire (BUSE).

 

 


 

Merci à Andri de Pagefire et Rubeus And The Hagrids, ainsi qu'à Malice et Sleap, pour leur contribution à l'article et leur soutien !​